Interview

L'interview express de Rony Lopes

L'interview express de Rony Lopes

Interview
Publié le 19/06 à 16:10

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Coéquipier le plus drôle, adversaire le plus coriace, but préféré… Le milieu de l’ESTAC Troyes Rony Lopes a évoqué ses souvenirs les plus marquants en Ligue 1 Uber Eats.

Désormais joueur de l’ESTAC Troyes, Rony Lopes en est à son quatrième club dans l’Hexagone après le LOSC, l’AS Monaco et l’OGC Nice. Le milieu offensif de 27 ans a évoqué ses souvenirs les plus marquants lors du Ligue 1 Show de beIN Sports.

Ton meilleur souvenir ?
Lors de ma première saison à Lille, on avait battu l’OL à la maison. On avait gagné 2-1 et j’avais donné une passe décisive avant de marquer le but de la victoire ! L’ambiance dans le stade était incroyable !

Ton pire souvenir
C’est aussi lors de ma première saison à Lille, lorsque je me suis blessé à la cuisse au bout de deux mois. Pour mon retour, j’étais titulaire contre Saint-Étienne et je réussissais un bon match mais j’ai rechuté…

Ton but préféré ?
Mon coup franc contre Reims. C’était un but spécial pour moi car je ne frappe pas les coups francs de cette manière d’habitude. Je préfère travailler la balle mais cette fois-ci, j’ai essayé de mettre un maximum de puissance. Peut-être car j’étais un peu stressé, que je ne savais pas ce que le coach allait penser, donc j’ai juste frappé le plus fort possible !

Ton coéquipier préféré ?
J’ai eu la chance de jouer avec Kylian Mbappé donc… Kylian Mbappé ! J’ai pu voir de près son arrivée dans l’équipe première à Monaco puis j’ai pu le voir jouer de près lorsque je l’ai affronté avec le PSG. Outre Kylian, je veux citer Fabinho, qui était incroyable. João Moutinho et Thomas Lemar, ce n’était pas mal non plus.

L’adversaire le plus coriace ?
J’ai joué contre de très bons joueurs : Thiago Silva, Marquinhos… Ils ne sont pas particulièrement durs sur l’homme mais ils sont vraiment très intelligents, ils savent se positionner et, quand il faut être dur, ils sont durs.

Ton entraîneur préféré ?
C’est difficile de choisir le meilleur… Tous mes entraîneurs m’ont appris des choses mais deux m’ont particulièrement marqué : Thierry Henry et Patrick Vieira. Je n’ai pas eu Thierry Henry longtemps mais il était très bon. Il n’a pas eu assez de temps à Monaco. Il est arrivé dans une période difficile, avec beaucoup de blessés, et, quand il a pu récupérer tout le monde et qu’il a réellement pu commencer à travailler, on ne lui a laissé qu’un ou deux matchs. Quant à Patrick Vieira, je l’ai eu chez les jeunes à Manchester City. Ça m’a rendu triste de voir comment ça s’est passé pour lui à Nice. Quand on était ensemble là-bas, j’avais envie de donner tellement plus mais malheureusement, j’étais dans la pire période de ma vie d’un point de vue personnel (décès de sa mère). J’aurais voulu que ça se passe différemment parce que c’est un coach qui me faisait confiance et c’est pour lui que je suis allé à Nice. Ça m’a touché quand il a été limogé car j’avais la sensation que notre relation de travail pouvait être excellente à Nice. Mais ce n’était vraiment pas le bon moment pour moi…